Julia Reisenbauer accélère la recherche de nouveaux médicaments
Prix Schläfli 2024 en chimie : Dès son enfance, elle savait qu’elle voulait devenir scientifique. Julia Reisenbauer se voit maintenant décerner le Prix Schläfli en chimie pour sa contribution au «skeletal editing». Il s’agit de convertir des molécules de manière ciblée pour qu’elles remplissent certaines fonctions.
Image : Julia ReisenbauerMichelle Frei – elle fait briller les cellules
Prix Schläfli 2023: Son travail pourrait révolutionner la microscopie à fluorescence: Michelle Frei a développé à l’EPF de Lausanne et à l’Institut Max Planck de recherche médicale à Heidelberg une nouvelle méthode pour visualiser les processus dans les cellules vivantes. Pour ce travail, elle se voit décerner le Prix Schläfli en chimie.
Philippe Schwaller – chimie avec des algorithmes linguistiques
Comment peut-on simuler des procédés chimiques avec une intelligence artificielle ? Philippe Schwaller a développé un programme qui a été élu meilleur de sa catégorie par un groupe de recherche indépendant.
Image : Urs WäflerClaudia Aloisi - Exploiter la beauté de la chimie
Son travail pourrait ouvrir la voie à de nouvelles formes de prévention du cancer: Claudia Aloisi a recherché une nouvelle méthode pour quantifier et déterminer les dommages à l’ADN à l’ETH Zurich. Pour cela, elle a reçu le Prix Schläfli de chimie.
Image : ETH Zürich / Nicola PitaroRobert Pollice – Ce qui unit le monde
A l’adolescence déjà, il a remporté des médailles aux Olympiades internationales de chimie. Un autre Prix l’accompagne désormais : le Prix Schläfli en chimie. Robert Pollice l’a reçu pour ses recherches sur les propriétés des matériaux qui sont d’une grande importance, par exemple, en nanomédecine.
Murielle Delley – le privilège de l’apprentissage continu
Lorsqu’on lui demande ce qui l’a motivée à étudier la chimie, Murielle Delley répond qu’elle a toujours voulu savoir comment les choses fonctionnent. Pour comprendre ce qui se passe autour de nous, la science quotidienne en quelque sorte, elle était attirée plutôt par la chimie que, p. ex., par la physique. Bon, c’était sa motivation de base. Au fil des ans, elle s’est bien sûr aussi tournée vers des problèmes plus spécifiques, moins quotidiens, dont plus récemment vers les surfaces des catalyseurs.
Image : Bernard Delley