Prix Schläfli
Le Prix Schläfli de l'Académie Suisse des sciences naturelles récompense chaque année les meilleures thèses de doctorat en sciences naturelles. Il s'agit de l'un des plus anciens prix de Suisse et il est décerné depuis 1866.
Les buts du prix sont les suivants :
- l’encouragement de jeunes talents du domaine de la chimie et des autres sciences naturelles
- la mise en avant de l’importance des jeunes chercheurs et chercheuses dans le monde de la recherche en Suisse ;
Plus d'information sur le Prix schläfli sont disponibles sur page web Prix Schlafli.
Ci-dessous, les chimistes ayant remportés ce prix ces dernières années:

Son travail pourrait ouvrir la voie à de nouvelles formes de prévention du cancer: Claudia Aloisi a recherché une nouvelle méthode pour quantifier et déterminer les dommages à l’ADN à l’ETH Zurich. Pour cela, elle a reçu le Prix Schläfli de chimie.
Image : ETH Zürich / Nicola Pitaro
The Prix Schläfli, one of the longest-running science prizes in Switzerland (since 1866), is awarded by the Swiss Academy of Sciences (SCNAT) to young scientists for excellent articles resulting from PhDs in each of the following disciplines: Biology, Chemistry, Geosciences and Mathematics.
Image : Caspar Klein
A l’adolescence déjà, il a remporté des médailles aux Olympiades internationales de chimie. Un autre Prix l’accompagne désormais : le Prix Schläfli en chimie. Robert Pollice l’a reçu pour ses recherches sur les propriétés des matériaux qui sont d’une grande importance, par exemple, en nanomédecine.

Lorsqu’on lui demande ce qui l’a motivée à étudier la chimie, Murielle Delley répond qu’elle a toujours voulu savoir comment les choses fonctionnent. Pour comprendre ce qui se passe autour de nous, la science quotidienne en quelque sorte, elle était attirée plutôt par la chimie que, p. ex., par la physique. Bon, c’était sa motivation de base. Au fil des ans, elle s’est bien sûr aussi tournée vers des problèmes plus spécifiques, moins quotidiens, dont plus récemment vers les surfaces des catalyseurs.
Image : Bernard DelleyEric Bakker, son directeur de thèse à l’Université de Genève, dit de lui que c’est un « volcan d’idées scientifiques ». Cela fait sourire Xiaojiang Xie quand il entend cela au téléphone depuis Shenzhen, où il est de nouveau domicilé depuis deux ans. Auparavant, il a été chercheur à Genève et Paris durant cinq ans. C’est durant cette période qu’il a fait un début de carrière prometteur.
Image : Xiaojiang Xie